06 septembre 2007

dangereuse complaisance

Rien ne fane plus vite que les lauriers sur lesquels on se repose.
[Percy Shelley]
Nothing fades faster than the laurels we are resting on.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

alors le mieux est de ne pas avoir de lauriers du tout, comme çà on est peinard .. jamais déçu